The Goncourt brothers' journal includes a conversation with a theatre owner or manager who says that he's basically running a brothel: he can't pay the actresses a living wage, and that make it up as they can.<p>Found the reference:<p>"""
--Ça, un théâtre... ce n'est pas un théâtre, c'est un b......<p>--Oh! Monsieur.<p>--C'est comme j'ai l'honneur de vous le dire... ce n'est pas un théâtre,
non, Monsieur, et c'est tout simple... Je donne à mes actrices 50 ou 60
francs par mois... pourquoi? parce que j'ai 30,000 de loyer... Mes acteurs, je ne leur donne guère plus, vous pensez quel métier ils font tous... Souvent une femme m'attrape pour me dire qu'elle ne peut vivre avec mes 50 francs, qu'elle va être obligée de faire des hommes dans la salle, pour manger... Que voulez-vous, ça ne me regarde pas... J'ai 30,000 de loyer... Donc, mon théâtre n'est pas un théâtre, c'est un b......
"""<p><a href="http://www.gutenberg.org/files/14799/14799-0.txt" rel="nofollow">http://www.gutenberg.org/files/14799/14799-0.txt</a>